RDC-Litterature : Présentation 3e revue interdisciplinaire d’études francophones

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L’événement a eu lieu le samedi 13 mars dernier dans la salle André Kimbuta de l’immeuble de l’hôtel de ville de Kinshasa. La 3e revue interdisciplinaire d’études francophones publié par le département des Lettres et civilisations françaises de l’Université de Kinshasa a été portée sur les fonds baptismaux par la doyenne de Felco Élisabeth Bweya.

Cette édition qui est particulièrement consacrée à l’écrivaine congolaise, coïncide avec la célébration du mois de mars consacrée à la femme

À en croire Yolande Élebe Ma Ndembo, présidente de Felco, l’association des Femmes de Lettres Congolaises, et conseillère du gouverneur Gentiny Ngobila Mbaka en matière socio-culturel, cette revue scientifique littéraire publie des recherches pluri-disciplinaires avec comme vocation de canaliser tous ces résultats des recherches en langue française.

Pour sa part la cheffe des Lettres et Civilisations françaises de l’Université de Kinshasa Gisèle Thoa a précisé que cette 3e publication intervient après la 1ère revue parue deux fois l’an, d’abord en septembre 2019 et éditée sous la presse universitaire de Kinshasa. Une première parution qui était axée sur « l’enseignement et la pratique du français ».

La parution suivante intervenue en novembre 2019 a eu pour thème « la critique des œuvres littéraires ». 

Pour ce qui est de cette 3e parution sachez qu’elle est consacrée à l’écrivaine congolaise. C’est un numéro spécial qui va actualiser les connaissances et l’apport des femmes congolaises dans le domaine de la créativité littéraire.

Cette cérémonie haute en couleurs a été agrémentée par la chorale de musique classique Luc Gillon de notre dame de Fatima ; elle a connu la présence de la commissaire générale provinciale en charge de l’environnement, affaires sociales, genre, famille et personnes vulnérables, de la vice doyenne de la faculté des Lettres de l’Université de Kinshasa, le corps professoral de l’Université de Kinshasa ainsi que d’autres acteurs socio-culturels de la capitale.

Dave Ngonde

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