Accueil Justice et Sécurité La jeune Congolaise Alexandra Martine DIENGO LUMBAYI est morte par noyade, selon les conclusions de l’enquête canadienne.

La jeune Congolaise Alexandra Martine DIENGO LUMBAYI est morte par noyade, selon les conclusions de l’enquête canadienne.

Les résultats de l’enquête sur le décès au Canada de la jeune Congolaise Alexandra Martine DIENGO LUMBAYI ont été rendus publics après plusieurs mois d’investigation. Selon le rapport de l’organisme canadien chargé d’élucider les circonstances de la mort de la ressortissante de la République Démocratique du Congo, Alexandra est décédée par noyade, et aucune intervention criminelle n’est à l’origine de ce tragique incident.

Le 10 octobre 2024, un examen externe suivi d’une autopsie a été réalisé au laboratoire des Sciences Judiciaires et de Médecine Légale de Montréal, l’une des grandes villes du Québec. Selon les résultats de l’autopsie, « aucune lésion traumatique contributive au décès n’a été observée », a indiqué le coroner (service d’enquête du Québec sur les décès) dans son rapport officiel. Ce constat permet d’écarter toute hypothèse de violence physique ou d’agression.

L’enquête policière menée par le service de la sécurité publique de la ville des Trois-Rivières, où la jeune fille a perdu la vie, a également soutenu cette conclusion. Après une investigation approfondie, les autorités ont précisé qu’aucune preuve n’indiquait l’implication d’un tiers dans ce drame. La thèse de l’accident par noyade reste donc la plus plausible.

Les circonstances exactes de l’incident demeurent floues, mais le rapport final souligne l’absence de facteurs criminels dans ce tragique décès. La famille d’Alexandra Martine DIENGO LUMBAYI, quant à elle, a fait savoir qu’elle n’accepte pas ce rapport et continue à réclamer justice.

Rappelons qu’Alexandra Martine DIENGO LUMBAYI, portée disparue le 4 octobre 2024 et vue pour la dernière fois le 2 octobre 2024 par son colocataire, qui l’a conduite à sa demande à l’île Saint-Quentin, a été retrouvée morte dans la rivière Saint-Maurice, entre la marina de l’île Saint-Quentin et l’île Caron, le 8 octobre 2024 par un kayakiste.

Germaine BAKAMBANA

Partager via:
Facebook
WhatsApp
Twitter
LinkedIn
Email

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Solverwp- WordPress Theme and Plugin