À la fin de la conférence-débat organisée à l’INA par l’AJECO ce 26 mars, votre média a recueilli quelques réactions des participants à cet événement.
La première à réagir, Celena Ngoy, jeune administratrice de l’association des jeunes écrivains du Congo. Celle-ci affirme être heureuse du bon déroulement de la conférence. Elle remercie le public et surtout le professeur André Yoka pour son apport et la disponibilité de cette salle au sein de l’Institut National des Arts.
Celena Ngoy remercie également la presse pour son soutien à la littérature car cette dernière est encore selon elle une « bête noire » pour certains congolais et reste peu connue du grand public congolais.
À la question de savoir ce qu’il en est de la présence des femmes congolaises dans l’espace littéraire national, Celena Ngoy renseigne qu’il y en a quelques unes mais elles sont peu nombreuses.
‹‹ La littérature en soit devrait-être une passion. On a beau aller vers la femme et lui demander d’écrire, si cela ne vient pas de son cœur, elle ne le fera pas ››
Explique-t-elle.
Au ministère de la Culture et Arts Celena Ngoy demande de mettre un accent sur la culture surtout en cette période du mandat de Félix Tshisekedi à la tête de l’Union Africaine. Elle estime néanmoins que ce ministère fait son travail.
Autre personne à réagir au micro de Pourelle.Info, Rosette étudiante intéressée par la thématique. Moins loquace, celle-ci explique avoir retenue que » malgré le fait que nous soyons un pays francophone, il est très important pour les écrivains et écrivaines de la RDC et de l’Afrique d’écrire aussi et très souvent en langues locales afin d’être lus et compris par un public plus large ».
Dave Ngonde