Pour échapper à leurs ravisseurs, deux Camerounaises kidnappées à Yaoundé se jettent dans le vide depuis le 4e niveau d’un immeuble

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Le Kidnapping des femmes n’a pas lieu qu’à Kinshasa, capitale de la République Démocratique du Congo. Cela se passe aussi ailleurs dans le monde, notamment en Afrique.

Pour preuve, deux femmes kidnappées ont fait parler d’elle à Yaoundé, capitale du Cameroun, pays d’Afrique Centrale.

En effet, deux femmes, kidnappées par des trafiquants d’organes humains, se sont échappées de leur lieu d’emprisonnement en sautant du 4e étage d’un immeuble de Yaoundé. Selon le média qui a donné l’information, cette ville qui détient le maillot jaune des enlèvements et assassinats vient une fois de plus de faire parler d’elle à travers cette histoire repoussant les limites de l’extraordinaire et de l’indécence.

Selon le lanceur d’alerte Nzui MANTO, ces deux femmes ont été kidnappées par des individus inconnus qui les ont conduites au dernier niveau d’un immeuble sis au quartier Essos. Dans l’appartement meublé pris en location pour leur travail, les ravisseurs ont exigé qu’une rançon leur soit versée pour libérer les femmes. L’une des otages contactant un membre de la famille fera parvenir la somme de 250.000 Fcfa aux malfrats mais malheureusement ces dernières ne regagneront pas la liberté comme cela leur a pourtant été promis.

Quelques heures plus tard, les deux otages profitant du sommeil dans lequel étaient noyés leurs ravisseurs vont s’échapper par la fenêtre du quatrième étage, en sautant dans le vide ! L’une des femmes a été amortie dans sa chute par un objet tandis que la seconde, atterrira de pleine fesses sur le sol, se fracturant à plusieurs endroits de son corps !

Conduite à l’hôpital central de Yaoundé, la miraculeuse affirmera avoir vu des têtes humaines dans l’appartement où elles étaient retenues captives. L’un des chefs de la bande dénommée Kenfack Barthélémy a été capturé et se trouve aux mains de la police. Ses complices quant à eux ont pris la poudre d’escampette.

Daiana MANKONGA

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