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L’Essentiel d’infos au féminin du 06/02/2025

Excellente Journée à toutes et à tous, nous vous présentons une nouvelle édition consacrée à l’information féminine ce jeudi 06 Février 2025

Nous débutons cette publication avec POURELLE INFO, qui relaie l’appel à la mobilisation de la jeunesse congolaise en faveur d’un Congo meilleur de Rosiane KABANGU. Cette initiative exhorte les jeunes congolais à ne pas se laisser abattre par les circonstances actuelles.

Rosiane KABANGU les incite à se lever et à puiser dans leurs ressources intérieures pour participer activement à l’essor de leur pays : « Jeune au métier, jeune au boulot, jeune dans l’entrepreneuriat, jeune dans les partis politiques, conscientisons-nous et œuvrons ensemble pour le développement de notre pays », a-t-elle martelé .

Une autre actualité marquante concerne les échanges entre la Première ministre, Judith SUMINWA  TULUKA et Jules ALINGETE, inspecteur général des Finances. Selon MÉDIA CONGO, la Première ministre a reçu à la primature, une délégation de l’Inspection Générale des Finances, dirigée par Jules ALINGETE, Inspecteur général-chef de service chargé de la régulation des finances publiques,´. Dans le but d’implémenter la directive énoncée par le Chef de l’État, qui a demandé au gouvernement de prendre des mesures austères pour diminuer le train de vie des institutions publiques, la Cheffe de l’Exécutif entend inclure l’IGF dans cette démarche.

Par ailleurs, 7SUR7 relate les préoccupations de l’Organisation des Nations Unies concernant l’augmentation des violences sexuelles dans les provinces du Nord et du Sud Kivu. Les conséquences des affrontements entre les rebelles du M23, soutenus par l’armée rwandaise, et les Forces armées de la République Démocratique du Congo (FARDC) suscitent l’inquiétude des agences humanitaires de l’ONU, qui constatent des «niveaux alarmants » de violences sexuelles. L’ONU Femmes indique que les rapports de viol et d’exploitation sont devenus tragiquement monnaie courante, exposant les femmes et les filles congolaises à des «niveaux accrus de violence sexuelle et sexiste ». Cette dégradation de la situation humanitaire résulte des conflits survenus entre les FARDC et le M23 dans la ville de Goma entre le 26 et le 29 janvier, entraînant environ 3000 pertes en vies humaines.

Dans le même ordre d’idées, ce quotidien souligne que la cheffe de la diplomatie congolaise, Thérèse KAYIKWAMBA WAGNER, a engagé des dialogues, en début de sa tournée européenne, avec Kaja KALLAS, haute représentante pour les Affaires étrangères et la politique de sécurité ainsi que vice-présidente de la Commission européenne, dans le cadre de son plaidoyer sur la situation dans l’Est de la République Démocratique du Congo (RDC). Au cœur de leur entrevue, la nécessité pour l’Union européenne d’adopter des mesures fermes à l’encontre du Rwanda, notamment la révocation du statut de contributeur en troupes de l’ONU, un embargo sur les exportations de minerais étiquetés rwandais, et des sanctions ciblées à l’encontre des responsables politiques et militaires, nous rapporte 7 SUR 7.

Passons maintenant à l’actualité féminine à l’échelle internationale,

TV5 Monde révèle que le viol des femmes a été utilisé comme arme de guerre par les rebelles lors de l’attaque du lundi 27 janvier à Goma. Ce média retranscrit le témoignage de MWADJUMA, qui a échappé de justesse à ses agresseurs durant cette nuit tragique : « Lorsque je les ai aperçus, j’ai été envahie par la peur. J’ai perdu tout contrôle et j’ai uriné sur moi, parce qu’ils portaient des armes . Je leur ai remis tous mes biens. Ils ont pillé ma maison et frappaient contre le mur, Bah Bah ! ! ! Ils m’ont dépouillée de mes vêtements, mais l’un d’eux a déclaré : habilles-toi, nous avons obtenu ce que nous souhaitions », a-t-elle narré. 

Néanmoins, selon le témoignage du Dr BUSHINGE, responsable d’un hôpital à Goma, pas moins de 16 cas de viol ont été recensés tout au long de cette journée du 27 janvier , comme il l’a confié à ce quotidien.

Pour conclure cette édition, mentionnons FRANCE 24, qui alerte sur la récente intensification du combat pour le droit à l’avortement aux États-Unis. L’État de New York a adopté une législation visant à protéger les médecins prescrivant des pilules abortives, cela survenant quelques jours après l’inculpation d’une médecin new-yorkaise, accusée d’en avoir fourni à une mineure enceinte en Louisiane. Désormais, les médecins new-yorkais pourront prescrire la mifépristone et le misoprostol au nom de leur établissement médical, plutôt que sous leur identité personnelle.

Merci de votre attention, retrouvons demain pour une nouvelle édition. 

Aggée CHUGA

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