Rester à la maison et se soumettre à leurs maris, c’est ce à quoi aspire les “tradwives”, un mouvement qui prend de l’ampleur depuis plusieurs années. Ces femmes aux foyers des années 50 sont, aux États-Unis d’Amérique, très convoitées par les candidats républicains, signale le média RTL.
La femme traditionnelle c’est elle qu’on appelle “Tradwive”. Cette tendance émanant des pays anglo-saxons est apparue en 2013 sur le réseau social Reddit et s’est amplifiée depuis la crise du Covid-19. Aujourd’hui, sur les réseaux sociaux, plusieurs femmes partagent leur quotidien de tradwife.
Une tradwife, par définition, est une femme qui choisit de vivre une vie plus traditionnelle et de prendre le rôle de femme ultra-traditionnelle. Donc l’homme sort, travaille et subvient aux besoins de la famille, tandis que la femme reste à la maison et s’occupe de son foyer et de ses enfants s’il y en a.
Estee, une Tradwive tiktokeuse, explique dans une de ses vidéos le vrai rôle d’une Tradwive. Mais être une femme au foyer et une tradwife ne signifie pas exactement la même chose.
‹‹ Les tradwives pensent qu’il faut se soumettre à leur mari et les servir ainsi que leur famille. Un rôle différent, mais tout aussi important ››, précise la Tiktokeuse aux 180.000 abonnés.
Les “tradwives” sont devenus un mouvement, avec un groupe de femmes qui prônent des valeurs ultra conservatrices et particulièrement le retour de la femme au foyer des années 50.
Pour ce mouvement, Tradwive « les épouses traditionnelles », le bonheur d’une femme est engendré par celui de son mari et être une bonne épouse est un devoir. La place naturelle de la femme est à l’intérieur de la maison, plus particulièrement dans la cuisine et celle du mari, est de gagner de l’argent. D’ailleurs, c’est un des points fondamentaux du mouvement des tradwives : se marier avec un homme qui peut vous entretenir.
Grâce NGOMA