16 jours d‘activisme : la Force Féminine Active a sensibilisé les étudiantes et étudiants de Révérend Kim sur les VBG et la masculinité positive 

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L’Asbl Force Féminine Active, FFA en sigle, a organisé une conférence au sein de l’université Révérend Kim site de Lingwala, à Kinshasa, dans le cadre de la campagne des 16 jours d‘activisme contre les violences basées sur le genre.

Lors de cette matinée, il a été question de sensibiliser les étudiantes et étudiants sur les notions de genre, égalité, masculinité positive,  la lutte contre les violences faites aux femmes et jeunes filles en milieu universitaire. 

L’activité a commencé par une prière avant l’exécution de l’hymne national de la RDC.

La vice-présidente de la Force Féminine Active, Patience BARANDENGE a fait, lors de sa prise de parole, une brève présentation de la structure FFA qui est une initiative de  Thérèse OLENGA, ancienne ministre provinciale du Genre et Famille de la ville province de Kinshasa, à l’époque du gouverneur André KIMBUTA YANGO.

La Force Féminine Active travaille pour la lutte contre toutes formes des discriminations dans la société et l’accent est plus mis sur la discrimination à l’égard des femmes, FFA œuvre pour la cause environnementale, dans le secteur de l’agriculture.

Parole MBENGAMA membre de la ligue des femmes pour le développement et l’éducation à la démocratie (LIFDED), a exposé sur la masculinité positive et a exhorté les étudiants à adopter ce comportement dans leur quotidien vis-à-vis des femmes. 

La conférence a été riche avec plusieurs autres interventions entre autres celles de la directrice générale de l’Agence Nationale de lutte contre les violences faites à la femme, Cécile TSHIBANDA LEPIRA, qui a parlé des différents mécanismes  mis en place par l’Etat Congolais en vu de mettre fin aux violences faites aux femmes en République Démocratique du Congo.

Concernant les instruments juridiques relatifs à la lutte contre les VBG maitre Céline Célestine NGANGA a épinglé ces instruments d’abord au niveau de la RDC. Elle a parlé de la constitution et autres textes, aussi au niveau international, il existe plusieurs instruments  notamment des traités, des conventions qui sont mis en place pour lutter contre les violences basées sur le genre.

La conférence s’est clôturée dans une bonne ambiance par un moment de questions et réponses, une prise des photos de famille et un cocktail offert aux participants. 

Christelle LABU

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