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La deuxième édition de la Foire des Femmes des médias s’est clôturée ce mercredi 31 mars au chapiteau du collège Boboto, dans la municipalité de la Gombe, à Kinshasa.
Organisée par l’UCOFEM, Union congolaise des femmes de médias, et l’ACOFEPE, association congolaise de femmes de presse écrite, avec l’appui d’INTERNEWS, elle a réuni durant 3 jours successifs de nombreuses femmes de médias congolaises venues de 45 organes de presse basés à Kinshasa, à raison de 15 organes de presse par jour pour l’exposition. Sans oublier les médias visiteurs.
Placée cette année sous le thème ‹‹ la femme de média et le leadership feminin en période de covid 19″, #génération égalité dans les médias, la deuxième édition de la foire des femmes médias avait pour but d’exposer afin de faire comprendre à la population le travail des femmes des médias.
Ayant prit la parole au dernier moment de la cérémonie, les organisateurs de cette foire ont remercié les médias qui ont eu à exposer depuis le début de cette rencontre et ont appellé ces derniers à continuer de booster encore la femme des médias, l’amèner à faire mieux et à aller plus loin dans son domaine.
La Directrice exécutive de l’UCOFEM, s’est également exprimée à la fin de l’événement. Rose Masala a remercié toutes les femmes de médias pour leur présence et le travail quelles abattent. Elle les a encouragée et leur a donné rendez-vous pour l’année prochaine.
Toujours dans le chapiteau, certaines de ces femmes de médias se sont présentées l’une après l’autre à l’assistance en declinant leur noms et fonctions au sein du média pour lequel elles travaillent.
Ensuite s’en est suivi un sketch improvisé par la journaliste et artiste Maravilla Milambo, très inspirée et très courageuse. Sa scénette parlait d’une femme qui se plaint de violences faites subies par les femmes à l’Université, dans les champs, au travail etc.
La cérémonie s’est clôturée avec des pas de danse de quelques femmes de médias sur la piste du chapiteau, ceci au rythme d’une musique diversifiée balancée par un DJ venue pour la circonstance.
Olivier Mukengeshayi
