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Joie, sourire aux lèvres , échanges entre femmes telle a été l’ambiance qui a régné lors du PEACE-NIC organisé par la structure KIMIA COORPORATE en collaboration avec HOPE2LIVE le samedi 4 Mai 2024 au jardin botanique de Kinshasa autour de différentes thématiques qui touchent la jeune fille.
Une journée a suffit pour Abigael ELONGA MASONGI, CEO de cette entreprise d’architecture intérieur , de faire comprendre les objectifs de cette journée. D’une part, c’est de conscientiser la jeune fille sur ses responsabilités et d’autre part de lui rappeler qu’elle n’était pas faible peu importe ce que les autres pensent d’elle.
Axée sur le thème “le traumatisme, le manque de confiance en soi, le complexe d’infériorité sur son physique et sa personnalité”, cette rencontre qui a réuni plusieurs jeunes filles dans un cadre extraordinaire, décoré en plein air, en toute intimité et convivialité, a permis aux jeunes filles d’échanger en toute confiance.
Pour sa part, Naomie BALONGO IMBOLO a donné des conseils précis aux jeunes filles en se basant sur sa riche expérience et son parcours. Elle a indiqué que les jeunes filles devraient se connaître parce que l’épanouissement n’est pas fixé par les autres, chaque fille devrait définir les indicateurs qui l’épanouissent.
L’invitée spéciale du jour, Jay PAMU, haut cadre de la Banque Solidaire SA, a partagé avec cette nouvelle génération sur quelques problèmes que rencontrent les femmes dans le milieu professionnel, tout en leur donnant des conseils de vie : « les femmes devraient se décomplexer, elles ne peuvent pas penser qu’elles sont moindres et qu’elles ne peuvent pas diriger ››, a-t-elle notamment dit.
Elle a enfin demandé aux femmes d’avoir confiance en elles et de bien faire les choses pour se distinguer dans la société.
Par ailleurs, le “Game Master” de cet événement, Abigael ELONGA a eu une séance de questions-réponses avec l’assistance, un moment qui a permis aux participantes d’avoir un éclairage sur toutes les questions relatives au succès dans les affaires, la confiance en soi et bannir le complexe d’infériorité.
Au sortir de ces échanges, l’une des participantes, Gisèle ELEBE a salué cette initiative car pour elle ‹‹ là où il y a échange, il y a partage de connaissances ››.
Elle conclut en affirmant que cette journée a permis aux jeunes filles d’avoir des repères dans la société.
Notons qu’une série de photos, un partage de repas et un réseautage ont clôturé cette belle journée qui a connu la participation de plusieurs jeunes filles venues de différents coins de Kinshasa. Un prochain rendez-vous est pris pour d’autres activités de cette nature, ont promis les organisateurs.
Christian MUKAYA
