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Créée en 1997 par Claudia EVART pour attirer l’attention sur les liens particuliers qui unissent les frères et sœurs, la journée mondiale des frères et sœurs célébrée chaque le 10 avril est devenue très populaire.
Elle est utilisée pour connecter les frères et les sœurs et se souvenir des temps passés ensemble.
À l’occasion de cette journée, la rédaction du premier média des femmes en République Démocratique du Congo, POURELLE INFO, a tendu son micro à quelques citoyens congolais, hommes et femmes, histoire de connaître les relations qu’ils entretiennent dans leurs familles respectives.
Ruth MULE, jeune kinoise révèle qu’il y a une bonne relation entre elle et ses frères, malgré les disputes qui ne manquent jamais :
‹‹ Ma relation avec mes frères et sœurs, je dirai c’est une relation très fusionnelle, on s’entraide quand on peut, on se soucie les uns des autres, malgré les disputes qui ne manquent pas, donc on est là pour les uns et les autres ››, a-t-elle dit.
De son côté, Gaël BAVANGILA, jeune homme vivant à Kinshasa, fait comprendre que l’amour est la base dans chaque relation de la vie : ‹‹ Une relation fraternelle, affective, mais aussi d’amour, pour moi vivre dans la famille, entre frères et sœurs c’est la première de chose qui met tient à cœur bien que de fois il y a des incompréhensions, mais c’est une relation remplie d’amour ››, a-t-il dit.
Pour Jemima BAZOLA NGOYI, il faut savoir se parler, échanger par téléphone entre frères et sœurs car c’est une chose magnifique surtout lorsque vous vivez pas sous le même toit :
‹‹ Nous avons grandi dans le système d’attachement, c’est-à-dire on peut passer du temps sans s’écrire mais la relation reste toujours forte car l’amour règne entre au delà de la distance physique qui nous sépare ››, a dit Jemima BAZOLA NGOYI.
Le 10 avril est donc une journée qui offre une bonne occasion de surprendre même les frères et sœurs avec qui le contact est devenu rare ou s’est complètement interrompu. Les téléphones, les smartphones et les médias sociaux, mais aussi les fleurs, peuvent être utilisés à cette fin. Ces dernières sont toujours bien accueillies parce qu’elles ouvrent les cœurs et sont tout simplement affectueuses.
Grâce NGOMA
