En mission à Séoul, capitale du Corée du Sud, le Rapporteur de la Commission Electorale Nationale Indépendante (CENI), a présidé une réunion de travail ce mardi 06 Septembre au siège général de Miru Systems.co.Ltd, la Firme sud-coréenne qui produit les kits électoraux.

Les programmeurs, concepteurs, techniciens et experts de MIRU SYSTEMS, son Président et les experts de la CENI ont également pris part à cette réunion purement pédagogique.
Séance tenante, les ordinaires du lieu, techniciens de cette Société, ont fait une démonstration de la chaîne des étapes à remplir pour la production de ce que sera la prochaine carte d’électeur de la République Démocratique du Congo (RDC).
Patricia Nseya a, à cette occasion, insisté sur le respect des dates convenues dans le contrat pour la production des kits, d’autant plus que la CENI, n’a pas une minute à perdre. Le Bureau de cette institution d’appui à la démocratie installé avec un retard de plus de deux ans, appuie sur l’accélérateur pour que les Congolais se rendent aux urnes au 3ème trimestre de 2023.

Après cette réunion avec les experts de la CENI et ceux de MIRU SYSTEMS, le porte-parole de la CENI a eu ensuite un tête à tête avec quelqu’uns uns de ses collaborateurs et le Chairman de MIRU accompagné de deux de ses assistants, pour la consolidation des remarques et suggestions formulées, après la première simulation d’enrôlement d’un électeur.
L’enjeu est de produire la meilleure carte possible qui s’étend également sur la durée.
S’en ai suivi une visite des installations de la direction de MIRU SYSTEMS, par le Rapporteur de la CENI.

La nouvelle carte d’électeur intègre une donne innovante qu’est « l’IRIS » ou la reconnaissance au moyen d’yeux. Une prouesse que seule MIRU SYSTEMS a pu intégrer dans son offre à la CENI, plus-value au-delà du prix attractif. Selon les experts de cette Firme, cette innovation va résoudre la problématique des doublons et les difficultés qu’avaient les personnes ayant des soucis d’empreintes digitales ou qui ne sont plus fiables, celles qui ont perdu des doigts ou les mains.
L’oeil fera office d’empreinte pour la reconnaissance.
JP Katenda