C’est depuis 1981 que la journée internationale de la paix a été instituée par l’Assemblée générale des Nations Unies. 

Deux décennies plus tard, en 2001, l’Assemblée générale a voté à l’unanimité la désignation de cette journée comme période de non-violence et de cessez-le-feu. Une journée qui permet de célébrer et promouvoir la paix dans le monde.

Cette année 2024, l’accent est mis sur la promotion de la culture de la paix avec comme thème : “Promouvoir la culture de la paix”.

L’Assemblée générale des Nations Unies a adopté il y a de cela 25 ans, la Déclaration et le Programme d’action pour une culture de paix. Cela inclut, entre autres, le respect de la vie, des droits de l’homme et des libertés fondamentales mais aussi la promotion et le renforcement d’une culture de la paix par l’éducation.

Dans cette déclaration, l’organisme le plus inclusif des Nations Unies a reconnu que la paix « n’est pas simplement l’absence de conflits, mais est un processus positif, dynamique, participatif qui favorise le dialogue et le règlement des conflits dans un esprit de compréhension mutuelle et de coopération ».

Dans un monde marqué par des tensions géopolitiques et des conflits prolongés, c’est le moment de rappeler la nécessité de la culture de paix. 

La Journée internationale de la paix a toujours été une occasion pour déposer les armes et observer le cessez-le-feu. Mais elle veut notamment encourager les individus à prendre conscience de l’humanité de chacun, car notre survie en tant que communauté mondiale en dépend.

Avec la guerre qui continue à l’Est de la RDC, les congolaises et congolais doivent s’impliquer davantage pour mettre fin à ces conflits de siècle et retrouver la paix par tous les moyens. 

MMK

Maguy

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