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Les habitants de la circonscription de Tshangu dans l’Est de Kinshasa, ont eu le privilège de recevoir la députée nationale Dollie TSHILOMBO, le 13 décembre 2024 dans la salle la Grâce VIP, située au quartier 3 dans la commune de Kimbaseke. Une rencontre qui a mis en lumière l’importance des droits de l’homme en République Démocratique du Congo.
Cette année 2024, la journée avait comme thème “les droits de l’homme à travers l’art, une réflexion collective”.
À cet effet, l’ouverture de cette conférence a été marquée par plusieurs prestations artistiques, notamment celle de l’artiste Honoris, qui a aussi présenté son œuvre d’art à leur élue Dollie TSHILOMBO. Il y a eu également divers sketchs comiques interprétés par le groupe théâtral “Amour éternel”.
Dans son discours de circonstance Dollie TSHILOMBO a fait savoir que les droits de l’homme sont un ensemble de droits fondamentaux reconnus comme inerrants à tous les être humains indépendamment de leurs nationalités, leurs sexes, leurs origines ethniques, leurs religions ainsi que d’autres statuts :
‹‹ Ces droits visent à protéger la dignité, l’égalité et la liberté d’expression de chaque individu. Les droits de l’homme en République Démocratique du Congo sont encadrés par la constitution de notre pays qui a été adoptée en 2006 et qui garantit un ensemble de libertés fondamentales et droit universel. Cependant, malgré les protections qui sont légales, la situation des droits de l’homme en RDC reste préoccupante en raison de plusieurs défis majeurs ››, a relaté la députée Dollie TSHILOMBO.
Elle a insisté sur le fait que les droits de l’homme en RDC constituent quelque chose de crucial, voilà pourquoi la constitution garantit les droits fondamentaux et le gouvernement travaille à ce que ces droits soient respectés dans toutes les institutions du pays. Et les organisations internationales tel que l’ONU, accompagnent la République Démocratique du Congo dans cette démarche.
Notons que cette matinée exceptionnelle a été embellie par la présence de quelques structures dont les ONGs Mwinda, Jeune talent et Shaloom.
Dorcas SAFI
