Dépôt candidature Arlette BUTELA à la présidence de la Ligue Nationale du Football Féminin : Un profil promoteur, selon Meline KANZA

La Ligue nationale de football féminin de la RDC organise l’élection de son nouveau comité exécutif ce 4 avril 2025.

À cet effet, Arlette BUTELA, journaliste à Télé 50, a officiellement déposé sa candidature pour le poste de présidente de la Ligue Nationale de Football Féminin en République Démocratique du Congo. Forte de deux décennies d’expériences dans le domaine médiatique et de son engagement au sein des clubs AS Vita Club et FCF Amani, Arlette BUTELA aspire à contribuer significativement au développement du football féminin dans le pays.

Soucieuse de voir cette discipline évoluer vers un avenir « brillant, captivant et profitable », Arlette BUTELA souligne qu’il est crucial que les femmes pratiquant le football en RDC puissent en tirer des bénéfices tangibles et envisager une reconversion professionnelle à l’issue de leur carrière :  

« Les femmes doivent s’investir dans le football, en récolter les bénéfices et envisager une reconversion. Il est impératif que la Ligue Nationale de Football Féminin atteigne un niveau comparable à celui de la ligue masculine. Ce n’est pas un idéal illusoire, mais un objectif réalisable », a-t-elle déclaré.

La candidature de Arlette BUTELA est un profil promoteur selon, Meline KANZA, journaliste sportif congolais :

« BUTELA représente un profil éminent pour la promotion du football féminin. Son parcours professionnel, ses précédentes responsabilités et ses réussites constituent des indicateurs significatifs. Sa compréhension des enjeux contemporains du football féminin, englobant le développement des infrastructures, le soutien aux clubs et la mise en valeur des talents, est primordiale. Les attentes en cas d’élection inclurait le développement de la discipline, l’appui aux clubs, la promotion de l’égalité et l’amélioration des infrastructures. J’attends d’Arlette BUTELA qu’elle initie des projets visant à propulser le football féminin à tous les niveaux, en renforçant sa visibilité et en attirant un nombre croissant de jeunes filles vers cette pratique. De même, une attention particulière devra être accordée aux clubs afin de garantir qu’ils disposent des ressources nécessaires à leur développement et épanouissement», a-t-il analysé.

Aggée CHUGA

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